Qu’est-ce que l’immobilier commercial ?
Vous le savez, la pierre reste le placement préféré des Français. Leur premier réflexe : se tourner vers l’investissement locatif d’habitation. Pourtant, d’autres options, certes moins connues mais bien rentables, existent : c’est le cas de l’immobilier commercial.
Le HCSF (Haut Conseil de Stabilité Financière) définit l’immobilier commercial (ou CRE pour Commercial Real Estate) comme l’ensemble des biens détenus par des acteurs professionnels, qui ne l’occupent pas et en tirent un revenu à titre habituel.
L’immobilier commercial (ou immobilier tertiaire) comprend des actifs très diversifiés : bureaux, locaux commerciaux, entrepôts logistiques, parkings, hôtels, restaurants, locaux professionnels, et parfois également locaux d’habitation, lorsqu’ils sont par exemple détenus par des sociétés anonymes.
Quels atouts pour le marché des locaux commerciaux ?
Le marché des commerces représente plusieurs milliards d’euros. L’immobilier commercial s’est toujours illustré comme une protection, lors de périodes de crises ou de chocs de marchés.
Plusieurs facteurs participent conjointement à la valorisation et au rôle “d’amortisseur de crise” des murs commerciaux.
- La bonne tenue de la démographie et de la consommation domestique des ménages qui, depuis les années 1960, connaissent une progression régulière et résistante dans le temps, sans oublier le tourisme et les 83 millions de visiteurs chaque année en France.
- L’effet de rareté, dû au nombre limité de boutiques de pieds d’immeubles, couplé à la demande croissante des enseignes qui développent des concepts internationaux et segmentent leurs offres (alimentaire, culture, sports, prêt-à-porter….), viennent renforcer la dynamique de ce secteur.
- Le retour de la proximité en centre-ville, conséquence directe du vieillissement de la population et du renchérissement du coût des transports, vient s’ajouter à l’impact touristique de certaines villes ou régions.
Les boutiques de pied d’immeuble en centre-ville sont donc plus que jamais à l’honneur : les meilleurs emplacements très prisés des investisseurs voient ainsi leurs valeurs locatives se maintenir voire continuer de progresser.
Quels sont le rôle et la mission de la Foncière COREALE sur ce marché ?
Investisseurs particuliers, professionnels ou institutionnels recherchent des actifs sûrs, visibles, rentables et néanmoins liquides, en complément de leurs autres placements.
La Foncière COREALE offre une solution d’épargne originale qui permet ainsi à tous d’investir dans l’univers des boutiques de centre-ville, à Paris et dans les grandes métropoles régionales.
Petites boutiques de centre-ville et en pied d’immeubles représentent une classe d’actifs peu traitée par les supports d’investissement grand public, qui restent concentrés sur les bureaux ou les grandes opérations commerciales.
Ainsi, la Foncière acquiert, transforme et loue les murs aux termes de baux commerciaux 3/6/9. Elle peut également revendre, avec plus-value, des murs de boutiques.
Sa mission est claire : il s’agit de permettre à l’investisseur-épargnant de diversifier son patrimoine dans des actifs complémentaires par rapport à ses autres actifs (assurance-vie, portefeuille-actions), voire à la détention d’actifs immobiliers en direct.
Quel intérêt pour les investisseurs ?
Via leur investissement dans la Foncière COREALE, les investisseurs acquièrent ainsi des biens commerciaux : la Foncière se charge de mettre en place un prêt qui permet de compléter le financement de ces biens.
Les loyers de la boutique permettent de rembourser l’emprunt. L’objectif est donc bien de permettre aux investisseurs de devenir propriétaires d’un bien sans endettement résiduel, afin que les loyers leur reviennent en totalité après le remboursement de l’emprunt.
L’effort d’épargne de l’investisseur est réduit, dans la mesure où ce sont les loyers qui permettent de rembourser l’emprunt d’acquisition.
Cette épargne pourra in fine servir différents objectifs pour l’investisseur.
- Se constituer un patrimoine.
- Transmettre un patrimoine (grâce au remboursement par les loyers de l’emprunt éventuellement contracté).
- Ou encore se constituer un complément de revenus, en vue, par exemple, de la retraite.